Il manquait celles-ci sur le site.
D'UN SIECLE A L'AUTRE
(Mauro/Ximenes)
Le même TIC-TAC,
Indifférent et obstiné.
Ni amour ni mort
Ni ombre ni lumière
Ni ordre ni chaos ne l'affectent.
Le même TIC-TAC...d'un siècle à l'autre.
A moins que...
LE CIMETIERE DES FOUS
(Mauro/Ximenes)
Et voici que soudain,
Dans la nuit, tous les vilains
Se prennent la main.
Forcenés, possédés,
Persécutés, échevelés
En ont assez.
Rejetés dans la vie,
Exécutés pour leur folie.
Quelle infamie!
Oubliés dans la mort,
Livrés à leur triste sort,
Ils ne sont pas d'accord.
Et les ombres s'effacent.
Et les tombes se fracassent.
Place aux carcasses.
La chapelle qui se dresse,
Alors si belle s'affaisse.
Finie la messe.
Le cimetière se réveille,
La poussière émerveille,
Rien n'est pareil.
Et des corps se dégagent.
Les morts, hors de leurs cages,
Précèdent l'orage.
Des profondeurs de la terre résonnent de terribles hurlements.
Ils se répandent dans l'air pareils à des rires et des chants.
Des profondeurs de la terre résonnent de terribles hurlements.
Ils se répandent dans l'air pareils à des rires et des chants.
Un fantôme apparait,
Puis un gnome, un feu follet,
Un désaxé.
Des déments, des violents,
Des tondus, des farfelus,
Tous des tordus.
Encensés par la lune,
Aveuglés par la rancune,
Bonne fortune.
Enivrés par le vent,
Libérés de leurs tourments,
Gare au châtiment.
Des profondeurs de la terre résonnent de terribles hurlements.
Ils se répandent dans l'air pareils à des rires et des chants.
Commence alors la ronde,
Démence furibonde
Contre le monde.
Une étrange sarabande
Dans la fange et la viande,
Ultime offrande.
Les bannis sont ravis,
La folie, la frénésie
les ont réunis.
Des profondeurs de la terre résonnent de terribles hurlements.
Ils se répandent dans l'air pareils à des rires et des chants.
AH_____AH, AH_____AH, AH_____AH, AH_____AH.
LA COUR SANS MIRACLE
(Mauro/Ximenes)
Désignés par le sort,
Ils luttent chaque jour contre la mort.
Nul endroit où se poser.
Ils gonflent les rangs de la pauvreté.
Ils peuplent les coins sombres,
Sont invisibles aux yeux du monde.
Leur quotidien est la faim.
Leur geôlière est la misère.
Ils vivent dans la cour sans miracle,
Parsemée d'obstacles.
Pris dans une incroyable débâcle,
A la recherche du pinacle.
A l'affût par tous les temps,
Ils croisent le regard des passants.
Ils se risquent à tendre la main.
Ne récoltent que du dédain.
Ils vivent dans la cour sans miracle,
Parsemée d'obstacles.
Pris dans une incroyable débâcle,
A la recherche du pinacle.
Ils vivent dans la cour sans miracle,
Parsemée d'obstacles.
Pris dans une incroyable débâcle,
A la recherche du pinacle.
PEINE PERDUE
(Mauro/Ximenes)
Obéis, ne faiblis pas,
Accroche toi, contrôle toi.
Réveille toi, ne t'endors pas,
Dans ce trou, tu survivras.
Ils ont tort de frapper fort,
Leur intention est la mort.
Ils ont tort, tu es le plus fort,
Tu répondras par la mort.
Brise enfin tes chaînes.
Ton destin est tracé.
Te voila condamné
A errer toute la vie.
A vivre ta vie.
Prends patience dans la souffrance
A ton désir de vengeance.
Beaucoup de chance et de silence
Te donneront la délivrance.
Ni la peur ni la douleur
Ne peuvent toucher ton coeur.
Barroudeur, c'est enfin l'heure
De combattre la terreur.
Brise enfin tes chaînes.
Ton destin est tracé.
Te voila condamné
A errer toute la vie.
A vivre ta vie.
Enfin libre, c'est bon de vivre.
Voila que tout ton corps vibre.
Tu hésites, tout est triste.
Tu sens qu'il y a un risque.
Tes geôliers, ces barbares,
T'ont caché l'atroce vérité.
Tu as quitté le pénitencier
Brise enfin tes chaînes.
Ton destin est tracé.
Te voila condamné
A errer toute la vie.
A vivre ta vie.
Pour l'enfer d'un monde sans pitié.
NOCTURNE
(Mauro/Ximenes)
Seul dans la nuit, je me suis égaré
Au fin fond du marais noyé dans le brouillard.
Seul sans un bruit, je me sens observé
Par l'entité surgie de nulle part.
Je renie le sommeil qui me terrifie,
Reflet d'une lente agonie.
Et j'implore le réveil, sauveur de ma vie
Que tant d'autres fuient.
Rêve ou cauchemar, je me fonds dans le décor,
Tel un charognard qui s'approche d'un corps.
Quel est ce souffle qui me brûle la peau?
Mon coeur s'essouffle à en courber le dos.
Je renie le sommeil qui me terrifie,
Reflet d'une lente agonie.
Et j'implore le réveil, sauveur de ma vie
Que tant d'autres fuient.
Réveil, réveil, réveil,
Réveil, réveil, réveil.
En proie à la douleur, je n'ose ouvrir les yeux
Sur un monde d'horreur peuplé de masques hideux.
Est-ce de la lâcheté que de tomber à genoux?
Je n'sais que supplier, je ne suis que dégoût.
Je renie le sommeil qui me terrifie,
Reflet d'une lente agonie.
Et j'implore le réveil, sauveur de ma vie
Que tant d'autres fuient.
Et dans ce côté obscur où je fonce droit dans le mur,
La réalité n'existe pas, il y fait toujours froid.
Traqué par des créatures chevauchant d'incroyables montures,
Je m'enfonce dans les bois, en proie à un terrible effroi.
Cerné de tous les côtés, je frissonne de tout mon être.
Au loin se dessine un sentier, encore plus loin une fenêtre.
A cet espoir, je m'accroche car les démons se rapprochent.
J'arrive enfin en bout de piste, je m'élance à travers la vitre.
Réveil, réveil, réveil, réveil, réveil, réveil,
Réveil, AH____, réveil, réveil, réveil, réveil.
Réveille-toi!
AU BOUT DE TA VIE
(Mauro/Ximenes)
Au vieillard sans lendemain,
Par l'hiver au triste matin,
Dans l'hospice des chagrins,
Seul, dans une chambre sans teint.
N'oublie jamais que toi aussi,
Au crépuscule de ta vie,
On t'enfermera sans avis.
La tristesse sera ton amie.
Dans l'hospice mouroir,
Véritable abattoir
Où meurt chaque jour tout espoir,
Comme le soleil, comme le soleil chaque soir.
A la vieille fatiguée
Par l'hostilité des années.
Reléguée et oubliée
De ce monde sans bonté.
N'oublie jamais que toi aussi,
Au crépuscule de ta vie,
On t'enfermera sans avis.
La tristesse sera ton amie.
Dans l'hospice mouroir,
Véritable abattoir
Où meurt chaque jour tout espoir,
Comme le soleil, comme le soleil chaque soir.
Ils attendent, ils attendent.
Ils attendent, ils attendent.
Au vieillard sans lendemain,
Par l'hiver au triste matin.
A la vieille fatiguée
Par l'hostilité des années.
Asile dépersonnalisé
Où crève l'individualité,
Où les vieillards, tous prostrés,
Attendent d'être libérés.
A TOUTE VITESSE
(Mauro/Ximenes)
Je suis pressé, trop occupé.
Je suis pressé, toujours dérangé.
Je suis pressé, importuné.
Je suis inquiet.
Fatigué.
Je suis pressé, trop agité.
Je suis pressé, toujours aux aguets.
Je suis pressé, terrorisé.
Je suis fatigué.
Fatigué.
Exténué.
Etre enfermé, me reposer,
Ne plus penser, ne plus voyager.
Etre allongé, ne plus bouger,
Me libérer, ne plus exister.
Je suis pressé, trop excité.
Je suis pressé,, je suis enragé.
Je suis pressé, toujours stressé.
Je suis tiraillé.
Fatigué.
Je suis pressé, trop engagé.
Je suis pressé, trop tourmenté.
Je suis pressé, trop affolé.
Je suis torturé.
Fatigué.
Ecartelé.
Etre enfermé, me reposer,
Ne plus penser, ne plus voyager.
Etre allongé, ne plus bouger,
Me libérer, ne plus exister.
Je suis pressé, trop occupé.
Je suis pressé, trop agité.
Je suis pressé, trop excité.
Je suis fatigué.
Fatigué.
Désespéré.
Etre enfermé, me reposer,
Ne plus penser, ne plus voyager.
Etre allongé, ne plus bouger,
Me libérer, ne plus exister.
Trop occupé.
Trop agité.
Trop excité.
Trop affolé.
Importuné.
Désespéré.
SANS PITIE
(Mauro/Ximenes)
Confiant dans ma folie, je suis infâme.
Je prends vos vies, je possède vos âmes.
Femmes ou enfants, peu importe,
Le goût, l'odeur du sang me réconfortent.
Je frappe au hasard, je suis mon instinct.
Je joue du rasoir, la mort me rend serein.
Tapi dans l'ombre à la recherche du plaisir,
Je guette ma proie, objet de mon désir.
Je suis...le tourment de vos nuits.
Je me nourris de vos cris.
Je suis...le fléau de vos âmes
Et je vous condamne.
Souffrance et terreur me font rêver.
La violence et les pleurs me font exister.
Je n'ai aucun style, je suis un boucher.
Mon domaine est la ville, je suis sans pitié.
Ni vengeance ni obsession,
Quelle importance, fascination.
On me dit malade, irresponsable.
Aucune parade car je suis le diable.
Je suis...le tourment de vos nuits.
Je me nourris de vos cris.
Je suis...le fléau de vos âmes
Et je vous condamne.
Je suis...le tourment de vos nuits.
Je me nourris de vos cris.
Je suis...le fléau de vos âmes
Et je vous condamne.
Je suis un tueur, un violeur, un pourfendeur, l'exécuteur.
Je suis un tueur, un violeur, un pourfendeur, l'exécuteur.
Je suis un tueur, un violeur, un pourfendeur, l'exécuteur.
Je suis un tueur, un violeur, un pourfendeur, l'exécuteur.
WENDIGO
(Mauro/Ximenes)
Depuis la nuit des temps,
Créature assoiffée de sang,
Engendrée par le mal,
Esprit frappeur et cannibale.
Il pue la mort, la corruption.
Signes d'abomination.
Il règne en maître dans la forêt,
Toujours aux aguets, jamais rassasié.
Retourne aux enfers!
Que règne la lumière!
Il apparait les jours de famine
Et sème autour de lui la vermine.
Retourne aux enfers!
Que règne la lumière!
E____YA, E____YA, HEY____
E____YA, E____YA, HEY____
Fils de la lune, monstre de la nuit.
Aucune paix s'il n'est pas détruit.
Retourne aux enfers!
Que règne la lumière!
E____YA, E____YA (ad lib)
LES TITANS
(Mauro/Ximenes)
Ils font trembler la terre entière.
Assoiffés de puissance, ils comblent les cimetières.
Vêtus d'armures, ils recherchent l'acier.
Âmes impures, ils refusent de prier.
Sans foi ni loi, ils sillonnent les pays.
Ils se disent rois, les faibles sont leurs ennemis.
Semant la mort, sus à l'ennemi.
Semant la mort, sus à l'ennemi.
Semant la mort, sus à l'ennemi.
Le tonnerre gronde au passage de la horde.
Les vents s'affolent, les dieux s'enfuient impuissants.
Le ciel devient pourpre illuminant les lords.
La terre résonne au passage des titans.
Leur pouvoir n'a pas de limite.
Ivres de gloire, ils se disent invincibles.
Tuer les gens devient pour eux un rite.
Ils se disent les messagers de la bible.
Le chaos règne, illusion de vengeance.
Telles des teignes, les barbares de Bysance.
Le monde se meurt, sus à l'ennemi.
Le monde se meurt, sus à l'ennemi.
Le monde se meurt, sus à l'ennemi.
Le tonnerre gronde au passage de la horde.
Les vents s'affolent, les dieux s'enfuient impuissants.
Le ciel devient pourpre illuminant les lords.
La terre résonne au passage des titans.
Semant la mort, sus à l'ennemi.
Le monde se meurt, sus à l'ennemi.
Le tonnerre gronde au passage de la horde.
Les vents s'affolent, les dieux s'enfuient impuissants.
Le ciel devient pourpre illuminant les lords.
La terre résonne au passage des titans.
Sus à l'ennemi.
Sus à l'ennemi.
LES SEIGNEURS DE GUERRE
(Mauro/Ximenes)
Suivis par plusieurs milliers d'hommes.
Ils se battent pour le royaume.
Les seigneurs de guerre
Vont croiser le fer,
Réduire à néant les frontières.
Grands et furieux combattants,
Ils prennent toujours les devants.
Des animaux sauvages,
Animés par la rage,
Se laissent aller au carnage.
Ils sont passés maîtres au combat.
Ils ne faiblissent pas.
Leurs attaques sont toujours puissantes
Pendant la tourmente.
Pas de quartier ni prisonnier.
La terre a tremblé.
Le sang a coulé.
La nuit va tomber.
Beaucoup vont pleurer.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont gagné.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs apaisés.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont vaincu.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs sont repus.
Pas de quartier ni prisonnier.
La terre a tremblé.
Le sang a coulé.
La nuit va tomber.
Beaucoup vont pleurer.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont gagné.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs apaisés.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont vaincu.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs sont repus.
Pas de quartier ni prisonnier.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont gagné.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs apaisés.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs ont vaincu.
Les seigneurs de la guerre, les seigneurs sont repus.
Les seigneurs.
Les seigneurs.
De guerre.
Les seigneurs.
DE GUERRE LASSE
(Mauro/Ximenes)
Dans ce monde où règne l'inquiétude,
Je m'effondre, noyé dans la lassitude.
Je me morfonds, rêvant d'une vie meilleure
Où je confonds mal-être et bonheur.
Comme un fou. Comme un fou. Comme un fou.
Envahi par le doute, submergé par la peur,
Je m'enfonce sous la croûte si fine qu'est ce bonheur.
Je crains de prendre la route, fuyant cette chaleur.
Ma vie est une joute où m'attendent les pires malheurs.
Comme un fou. Comme un fou. Comme un fou.
Et si pourtant je lutte
Pour regagner la surface.
Dans ma petite hutte
Où je n'ai pas ma place.
Je sombre dans le désespoir
Propre à ceux de ma race.
Mon ombre est si noire
Que je n'arrive plus à faire face.
Je lutte, je lutte, je lutte comme un fou.
Je lutte, je lutte, je lutte encore et encore.
Ce siècle me condamne à un avenir incertain.
Du fond de mon âme, je me prépare à mon destin.
Dans mon coeur s'éteint la flamme qui me fait aimer les miens.
A nul je ne réclame la pitié dont j'ai besoin.
Et si pourtant je lutte
Pour regagner la surface.
Dans ma petite hutte
Où je n'ai pas ma place.
Je sombre dans le désespoir
Propre à ceux de ma race.
Mon ombre est si noire
Que je n'arrive plus à faire face.
Je lutte, je lutte, je lutte...
Je lutte, je lutte, je lutte encore et encore.
Je refuse désormais de continuer la guerre
Qu'a déclenché la société pour me jeter à terre.
Le pouvoir et l'argent se chargent de mon sort.
Depuis ce temps, j'attends que vienne...la mort.
FAN
(Mauro/Ximenes)
On me nomme "Fils du Metal",
Un homme tout à fait loyal.
Je n'peux vivre sans mes idoles.
Les amplis toujours à fond,
Je rugis comme un lion.
Je m'enivre de leurs paroles.
Je suis fan, non profane.
Je parcours sans cesse le monde,
Là où les concerts abondent.
Je n'dois pas perdre une seconde.
Je suis fan, non profane.
HO____HO___HO____HO........
Parmi la foule en délire,
Je vis pleinement mon plaisir.
Je succombe à la frénésie.
Je m'approche de la scène,
Presqu'en manque d'oxygène.
Je lève les bras, je souris.
Je suis fan, non profane.
CAVALE
(Mauro/Ximenes)
Traqué, meurtri, perdu, affamé.
Cerné, trahi, tendu, affolé.
J'ai traversé des contrées inconnues.
Jusqu'à ce jour, j'ai survécu.
Accusé d'un crime que je n'ai pas commis,
Je brouille les pistes pour sauver ma vie.
Les chiens sont lâchés,
Le monde entier lancé sur mes traces.
Personne sur qui compter,
Je suis entouré de rapaces.
Brisé, fourbu, malheureux, abandonné.
Blessé, vaincu, furieux, terrorisé.
Je n'avance plus, je perds du terrain.
Je n'en peux plus, je suis au bout du chemin.
J'entends les cris des bêtes aux abois.
Je dois me préparer au dernier combat.
Les chiens sont lâchés,
Le monde entier lancé sur mes traces.
Personne sur qui compter,
Je suis entouré de rapaces.
Un premier chien me saute à la gorge,
Un second me mord l'épaule,
Puis un troisième...
Je les tue.
Je me relève.
Je commence à courir.
Je ressens l'impact qui me fait chuter.
Le regard vide,
Je rends mon dernier soupir.
TU...
(Mauro/Ximenes)
Si je savais
Sur qui compter.
A quoi je sers
Dans ce désert.
A tes côtés,
Te regarder.
Murmurer pour ne pas t'effrayer.
Reste avec moi,
Ne t'en vas pas.
Que ferai je sans toi.
Je vais tout casser,
Je vais m'effondrer.
A quoi ça sert,
Je suis en colère.
Maudit chauffard,
Sans un regard
Pour ton corps brisé gisant sur le trottoir.
Reste avec moi,
Ne me quitte pas.
Que vais je faire sans toi.
La nuit s'est installée,
La mort t'a emportée.
Tu es partie,
C'en est fini.
Plus d'avenir,
Plus qu'un souvenir.
Et je reste seul, tenant ton linceul.
Reste avec moi,
Ne m'abandonne pas.
Que vais je faire...sans toi.
BONNE LECTURE